Hasard et amour scientifique

Cela fait un bon moment que je suis en couple avec un monsieur pas mal parfait.

Mais ce pourrait-il que sut été n’importe qui, ce monsieur?

Je ne crois pas au mythe de l’âme soeur. On rencontre si peu de gens dans notre vie que nécessairement nos choix nous mènent vers des humains ayant un parcours similaire. Soit en tenant compte de l’environnement dans lequel on a grandi, étudié, ou les buts ultimes qu’on s’est fixés. Les choix que nous faisons agissent comme une sorte de sélection naturelle pour trouver des êtres compatibles.

À moins d’être une personne difficile ayant des troubles d’adaptation sociale, je crois que l’humain moyen est enclin à à peu près tout le monde. Oui, on n’a nos «types», mais ces types couvrent un échantillon assez vaste de personnes. Je pense que le secret d’une relation est de changer avec l’autre. 

Plus un contact est forcé entre deux personnes, plus l’adaptation s’installe révélant les particularités de chacun. De là, le duo rejette certaines habitudes à d’autres, analyse toujours selon une situation donnée quelle solution un où l’autre apporte et le duo choisit la meilleure, ou la mieux appropriée. Quel bonheur que d’avoir un complice absolu!

Les insides sont importants dans ce processus puisqu’un individu qui est constamment avec vous partage nécessairement des souvenirs communs et donc les liens qu’on fait toute la journée se trouvent partagés. Ce qui revient au point que l’âme soeur n’existe pas de façon innée, mais qu’elle se crée. 

Donc, plus on cherche les autres, sans faire ce qu’on aime, ou exprimer qui on est, plus on est sûr de frapper un mur. Vouloir sans cesse trouver de nouvelles expériences et se plier aux aventures et aux comportements des autres sans prendre sa place ne sert absolument à rien, sauf être un observateur.

C’est pourquoi je pense que le mythe de l’âme soeur est une fabulation facile. Facile, de s’en remettre au hasard, difficile de bâtir quelque chose. Qui dit bâtir dit conflit, qui rencontre des conflits rencontres parfois des échecs, mais rassurer vous parce qu’on est compatible avec pas mal de monde. 

La rencontre proprement dite est une étape essentielle, mais pas cruciale.

Les gens c’est comme la pub, plus on en voit, plus on en essaye, moins elle nous marque. Moins on la remarque, plus on cherche des trucs complètement bizarres dans sa signification. (Lire, on se ramasse avec des gens crissement fuckés).

N’oubliez jamais qu’une poule pas de tête se fait toujours foutre par le trou du cou.

Les chroniques du bureau. Intro

Dans le cadre de mes jours toujours moins cyniques, je tente de donner un sens à mon existence immédiate.

Grosso modo, je travaille dans un bureau stéréotypé sur plusieurs plans.

Comment aborder le bureau? J’y ai longuement songé, puisque j’ai un peu envie d’être juste, mais aussi de complaire mes lecteurs dans les tragédies du quotidien typiquement 9 à 5. Ce qui ressort de mes réflexions est que cet univers est trop vaste pour le décrier en un simple article. Voici donc une petite introduction en douceur pour les chroniques à venir.

Mon emploi actuel me désigne un bureau, faisant parti intégrante d’une cage de six personnes. Oui, une cage, c’est bien le terme utilisé.

Pourquoi? Sans en être totalement sûre, mon intuition me dit que c’est parce qu’anciennement, en finance du moins, les gens travaillaient dans des voûtes où étaient entreposés des milliers de valeurs physiques.

Les valeurs physiques n’étaient pas immatriculées, à l’époque, aux noms de particuliers. Elles étaient toutes au nom de la compagnie qui agissait comme agent de transfert et ladite compagnie vendait les valeurs en autorisant un legs à un porteur. C’est-à-dire que des valeurs (actions, bons, etc.) étaient comme des chèques endossés: si t’en trouves un à terre, tu t’le mets dans les poches.

Il faut comprendre de ce concept que les gens travaillaient dans les voûtes ou dans le backoffice (ceux faisant les opérations financières) étaient largement surveillés parce que n’importe qui pouvait encaisser les valeurs si elles étaient «endossées». Leurs allées et venues dans les voûtes et les bureaux étant contrôlées, c’est à ce moment que le terme de cage s’est répandu.

Les personnes avec qui je travaille, dans ma cage, ont toutes entre cinquante et soixante ans.
–    Eille, la petite comment t’aimes ça, travailler avec le club de l’âge d’or?
–    Bin voyons, vous êtes tous bien trop fringants pour faire parti du club de l’âge d’or! Mais oui, oui j’aime ça travailler avec vous autres.

Ça c’est ce que je leur ai dit. Et c’est ce que j’aurais dû dire à tout le monde.

Il faut savoir que la population de l’étage de l’édifice dans lequel je travaille varie entre 21 et 65 ans. La majorité a entre 28 et 38 ans, fin génération X, début génération Y, souvent en désaccord entres-elles, mais certainement en coalition contre les baby-boomers. Le monde de la finance a changé en tout point, l’apport technologique continue encore de façonner les structures d’échange et pour les reliques qui sont toujours en poste, il faut rappeler qu’on n’était pas encore allé sur la lune à leur naissance.

Faque mettons que mon club de l’âge d’or fait jaser.

Je travaille là-bas de manière occasionnelle depuis 2008, et pour quelques raisons X, que je vous épargne, mon parcours de vie a fait que je connais beaucoup de gens là-bas depuis que je suis très jeune. On se connaît, je parle à tout le monde, tout le monde me parle.

Et donc, depuis que j’occupe mon poste actuel, quelques dizaines de personnes me demandent comment j’aime ça travailler avec eux, les vieux séniles. J’ai eu toutes les remarques les plus bizarres et les sous-entendus les plus disgracieux à leur égard… mais c’est vrai que je ne sais pas combien de fois par jour j’entends les mêmes mimiques verbales…

–    Coudons, j’ai tu pesé sur imprimer?
–    Bon ça y est, mon ordi fait des freegames.
–    Quand j’étais jeune..
–    J’ai mal à … (pied, cou, dos, tête, main, etc.)
–    Où s’est que j’ai mis mon/ma… (crayon, étampe, doigt de caoutchouc, note, pad, dossier, feuille, etc.)
–    Y en aura pas de facile!
–    Ah oui… Bin coudons, hein?

Je fais ici mon Mea Culpa. Je les ai trahis, mes petits vieux, parce que je ne voulais pas contrarier mes interlocuteurs plus jeunes, parce qu’il faut entretenir de bons rapports sociaux, parce que pleins de raisons de marde qui ont fait que j’aurais du les défendre un peu au lieu de sous-entendre que ça pourrait être pire, qu’ils pourraient être bien plus séniles que ça…

Dans un bureau il y a beaucoup de langues sales, des vipères, des backstabbeurs, des stool, des filles qui sucent le boss pour avoir une augmentation, des gars qui ont le nez brun, la clique des fumeux de clopes, la clique des grosses, la clique des tripeux de maladies, la clique des costards, les cliques des sports, celles qui s’échangent des livres, ceux qui vont chez Tims, ceux qui vont chez McDo, ceux qui vont chez Second Cup, ceux qui se voient en dehors du bureau, pis ceux qui s’haïssent.

Ce que j’aime de mon club de l’âge d’or c’est qu’ils s’en foutent d’impressionner les autres. Ils ont vécu ET vivent. Ce sont des personnalités définies, à ne surtout pas confondre avec bornées. Ils sont de même, mais ils acceptent pas mal tout le monde. Apparence impeccable, jamais là pour juger, avec un parcours de choix tellement variés et compliqués. Loyaux et attentionnés, les membres du club de l’âge d’or s’inquiètent pour les autres, supportent en toute occasion, s’échangent des collations, partagent les mêmes rêves de loteries et se taquinent toute la journée.

Il parait que le QI de l’humain ne change pas durant toute sa vie, mais que les valeurs mesurées dans le QI le font. Les jeunes sont plus rapides, les vieux plus lents. Les jeunes sont plus spontanés, les vieux font moins d’erreurs, leur jugement étant plus affuté et leur capacité d’analyse de possibilités multiples plus développée.

C’est vrai que leur lenteur m’irrite parfois, mais ils me coincent toujours parce qu’ils savent tout. Le concept général est là, la vue d’ensemble, la sagesse du manuel total.

J’espère que vous suivrez mes chroniques du bureau, un mélange de réalisme cynique avec quelques notions historiques ou théoriques parce qu’après tout, j’ai failli devenir prof d’histoire…

Les vieux os de la vieille dinde

La recette précédente montrait comment faire une dinde chlorée. Or, il est important de conserver ses vieux os au congélateur afin de les utiliser pour faire de la soupe. Le bouillon de poulet, croyez-le ou non,  n’est pas juste une poudre jaune, telle que le cari, provenant d’une plante quelconque poussant dans un champs rocailleux. On peut aussi l’obtenir en faisant bouillir un vieil os!

La preuve:

La soupe mauve au vieux légumes de ce soir

La vieille dinde

C’est poche les recettes de Noël après Noël. Mais il n’y aura peut-être pas de Noël 2013 alors j’ai décidé de mettre cette recette quand même.

La dinde chlorée

  1. remplir une ancienne chaudière de « chlore de piscine » avec de l’eau;
  2. ajouter 1T de votre boite de sel servant normalement à faire disparaître les tâches de sang menstruel et une bouteille de poudre d’ail ou d’épices plus fancy du Dollorama;
  3. laisser tomber la dinde là-dedans de manière à ce que ça fasse « Sploutch »;
  4. mettre un objet sur la dinde pour qu’à ce qu’elle cale dans le fond;
  5. laisser sur le balcon (froid) 2-3 jours en faisant attention aux hobbos;
  6. le jour de la manger, si la dinde est gelée, et bien il va falloir- hélas- faire le ménafe du frigo et faire une place à la chaudière. Après, récolter 2-3 T de jus de macération puis ajouter 2T de sirop d’érable(vous pouvez en mettre un peu derrière vos oreilles c’est mon truc séduction!) et du gras;
  7. Cuire à 300 degré 4-5 heures, et toute le long, arroser le dindon avec le jus de dinde; si votre bras est pas assez fort pour tenir la louche de jus de dinde, demander à un de vos enfants (ou coloc) de mettre son bras, plus svelte et habile, dans le four pour arroser la dinde.

Tenez bien vos leggings, parce que ça jute en maudine.

Le syndrôme de la poignée de porte.

Aujourd’hui, j’ai 21 ans et j’ai l’impression que chaque jour de plus dans cette vie est un pas de plus vers la perte de ma dignité.

Ohh mais pourquoi tant de pessimisme me direz-vous?

LE SYNDROME DE LA POIGNÉE DE PORTE! Oui, vous m’avez bien compris et je suis certaine que vous savez où je souhaite en venir…

Plus exactement, le syndrome de la poignée de porte pourrait être défini comme suit:

**Impression soudaine et irrationnelle que l’on est à deux doigts de se

faire pipi dessus au moment précis où on met la clef dans la porte.**

L’été, ce genre de syndrôme nous semble bénin. Mais l’hiver! C’est une toute autre histoire.  Quand vient le moment de délasser tes fuck-me boots et d’enlever tes 4 épaisseurs de manteau, ton foulard et tes jambières, cette envie pressante prend les allures d’ une course à la mort. Quelques fois, c’est même incontrôlable  et , malgré toi,  quelques fuites viennent entacher ton score de sexyness. Dans ces moments là, tu ne fais que songer à quels genres de vêtements pourraient bien camoufler une couche Tena tout en te donnant un air sexy.

seul remède contre le syndrôme de la poignée de porte

Je sais que vous cherchez sans doute à déceller la pertinence de mon article. Il n’y en a pas. C’était simplement un mot d’encouragement pour t’annoncer que t’es pas tout(e) seul(e). Moi aussi je suis jeune et un peu incontinente quand viens le temps de débarrer ma porte d’entrée.

Bref, ne t’en fais pas. TU ES ENCORE L’HOMME VIRIL QUE TU CROIS ETRE  ou LA FEMME FATALE DONT TOUT LE MONDE REVE.

Je t’aime comme tu es lecteur.

xx

Un moment d’anniversaire

Les rédactrices de votre blogue favoris ont préparé un petit vidéo de réjouissance pour la fête à notre Goldy bien aimée.

Il faut simplement cliquer sur le lien suivant

Ici —-> La fête à Goldy

Le dur combat

Combattre le cynisme, telle est la finalité de ce blogue. À travers l’écriture, nos réflexions et le récit de nos expériences personnelles, nous devons quitter le négativisme qui hante notre jeunesse. Un défi de taille vous direz, un ultimatum pour notre épanouissement mental de jeunes filles. Arrivées à un stade qui frôle le point de non-retour, une seule solution s’offrait à nous, faire dorénavant tout en notre pouvoir pour combattre ce fléau en s’appuyant sur ce blogue pour laisser des traces tangibles de notre quête, ou de notre échec. Malgré des jours sombres où s’accumulent des évènements pathétiques, des rencontres insipides et des séances de bitchage qui s’éternisent jusqu’au petites heures du matin, il ne faut jamais perdre de vue l’objectif ultime. L’effort requis est parfois inhumain. Moi, qui se complait dans son cynisme, mon insolence face au monde et qui se réjouit devant l’inconvenance, je devais trouver de nouvelles bases à ma vision du monde. Au cours des dernières années, j’ai perdu foi en la naïveté romantique. Peu à peu, je m’extirpe de ce grand trou noir de désabusement.

Objectif #1, tomber en amour.

Tout d’abord, laisser tomber toutes les prémices que l’on s’est forgées au cours de la période de célibat.

– Les bons amoureux sont pathétiques.

– Le bon gars est un piètre amant.

– Les bons amoureux sont en couple.

– Les bons amants sont de piètres amoureux.

– Le bon gars a un look de marde.

– Le bad guy préfère son look à sa maitresse.

– Le bon amant a trop de maitresses pour que son pénis demeure propre.

– Le bon gars a des objectifs de vie qui laissent à désirer.

– Le bad guy a des objectifs de vie encore plus louches.

Mais par dessus tout…

– Les mecs, c’est tous des salauds.

Bon. Ici je vais faire une parenthèse, je ne suis ni féministe, ni misandre, ni lesbienne. Si j’étais un homme et que j’écrivais cet article, j’en aurais probablement encore bien plus à dire sur la gente féminine.

Alors voilà. Après avoir abandonnée ces idées préconçues, il faut élaborer un bon plan d’attaque. J’ai personnellement opté pour une technique tout à fait innovante. Je l’ai nommé, le COMPTE À REBOURS. En voici les détails :

1. Dénicher un cercle d’amis, communément appelé la gang de gars.

2. Organiser un gros pénis party, les inviter. (Le pénis party est une technique efficace. Pour ne pas semer le doute, inviter quelques filles, mais en couple. Ainsi, le « candidat » sélectionné devient plus facile à isoler et à protéger des autres prédateurs femelles)

3. Se mettre belle.

4. Choisir une victime complètement saoule et/ou droguée (communément appelé « le gars torché »)

5. Faire trois ou quatre tours de magie, l’ensorceler, le faire tomber en amour instantanément (lire ici, croire au destin)

6. Poser une date butoir à votre idylle. Quitter le pays dans un futur très proche.

7. Proposer à la victime de passer les derniers jours ensemble, sans dormir et faire l’amour sans cesse.

8. Profiter de sa fatigue chronique pour s’imposer comme étant « La » femme de sa vie.

9. Foutre le camp.

10. Croire en l’amour de nouveau.

L’amour à distance, je crois pas à ça. Mais cette méthode semble pourtant faire ses preuves à plusieurs égards. Ça tape pas sur les nerfs un mec qui habite un autre continent.

Très vite pourtant, le cynisme a tranquillement repris le dessus sur ma vie. Le manque de sexe (parce que Skype, ça donne pas les meilleurs orgasmes, disons-le), le froid de l’hiver, mon chat qui devrait servir à combler mes carences affectives mais qui préfère pisser dans mon entrée et me réveiller chaque matin par son petit miaulement strident… Et tout le reste qui fait quotidiennement chier. Tu te réveilles un bon jour et tu te dis « La vie s’t’assez de la marde ». Et voilà, tout ces mois d’efforts tombent à l’eau. Tout est à reconstruire.

Quelques trucs qui m’aident à écouler les jours difficiles :

–       Crier à mon chat de fermer sa gueule et m’excuser. Le prendre dans mes bras, le câliner, lui dire qu’il est dont beau avec une voix de mongole (lire : passer pour une folle devant ses colocs)

–       M’acheter du linge (dans les bons comme dans les mauvais moments, consommer du tissus de différentes formes et tailles demeure pour moi l’une des thérapies les plus efficace)

–       Allez rejoindre mon prince charmant à l’étranger, faire le plein de sexe. Se fiancer. (lire : passer un petit moment agace pour être certain de s’ennuyer encore davantage en rentrant à la maison)

–       Revenir seule chez soi et s’acheter un jouet sexuel. Espérer que ça remplace son homme, réaliser très vite que non, mais bon…

–       Épouser fermement une cause. Participer au déclanchement d’une grève étudiante, aller manifester et crier fort. (lire : penser qu’on est des milliers à penser comme moi et à vouloir envoyer chier l’humanité de temps en temps)

 

Merci à vous, fidèles lecteurs.

Je vous invite à partager vos trucs et astuces avec moi, parce que le combat n’est pas à veille de s’achever.

Internet will save fashion

On dit souvent: « Design will save the world ».  Mais la question est… qui sauvera le design, lui? Je n’ai peut-être pas trouvé la réponse pour le design en entier, mais je sais que la mode sera certainement sauvée par Internet.

Quand j’avais 14 ans, mon coeur s’emplissait de joie lors de mes escales au centre d’achat de Châteauguay. Depuis plusieurs années, le magasinage en boutique, même à Montréal, où la faune vestimentaire est plus que biodiversifiée, ne m’inspire plus aucune magie. Je me vois donc obligée de traîner comme une vieille goule dans les friperies à la recherche de ce que les boutiques hors de prix ne savent offrir: l’originalité, le choix, la qualité, l’authenticité. À pull donné on ne regarde pas le col ; malgré leur faible coût, les trouvailles de friperies sont rarement totalement satisfaisantes.

Et pourtant,  ce soir…et ce n’est pas parce que la St-Valentin approche dangeureusement, mon coeur a su battre de nouveau pour des vêtements… sur Internet !  Depuis que j’assume mon côté geek (merci au merveilleux site de Geek Girls pour ce faire), j’ai l’impression d’enfin pouvoir exprimer ma vraie personnalité ! C’est ainsi que je tombe sur ce délicieux Body Suit parfait pour les petits troncs à la Goldy !

Au début je regarde le beau petit morceau avec mon oeil de fille, juste éblouie.  Puis je lis, dans le corps de texte, l’expression « Moose Swimsuit ». HEY!  Rapidement ma nature biologiste se manifeste, et je me dis, mais non, ceci est bel et bien le profil baigné de soleil couchant d’un wapiti. Et comme de fait…:  « Originally I called this the ‘Moose Swimsuit’ until some angry Canadians heard about it and let me know of my error. Forgive me, Canada, land of the noble elk. And, this is extremely cool. »

The extremly cool Elk Suit will save fashion, who will save the design, who will save the world… but it will take 90 $ US + shipping.

Le sens du monde

Je ne vois que deux finalités à ma vie en tant que fille-fille. Trouver l’homme idéal et la veste parfaite. L’homme idéal, passe encore, mais la veste parfaite c’est une quête continue, quotidienne et épuisante. La veste parfaite n’existe pas. Cette quête restera à jamais inachevée. À la recherche de la veste parfaite, on retrouve toujours certaines caractéristiques que comportent la veste parfaite sur les modèles proposés en magasin (ou dans le garde-robe de ta grand-mère, on a compris vieil hipster -de marde-), mais jamais JAMAIS l’équilibre fragile entre les différentes facettes de la veste entrent en symbiose pour s’éveiller à la face du monde comme étant La veste parfaite. Et si tu penses que ta veste est pas si pire que ça, attends de la laver trois ou quatre fois, tu vas voir qu’elle va commencer à faire plein de petites mousses. Et tu devras te mettre à RASER ta pseuso-veste-pas-pire-parfaite. Ouais, c’est ça…

C’est pourquoi ton petit look de marde vaut pas d’la marde.

 

Les biscuits aux vieilles truffes Post-Noël

Les déliches d’Hochelag vous proposeront toujours des recettes utiles et à votre mesure de jeune adulte pauvre. Même si nous sommes jeunes, le mot-clé de ces recettes est assurément: VIEUX. Vieille banane, vieux cadeaux, vieux légumes, vieux sautés…

Voici donc une première recette délichieuses; les biscuits aux vieilles truffes de Noël. Un jeune adulte pauvre reçoit souvent des truffes pour Noël; sinon, il reçoit assurément du chocolat. La recette s’applique aussi pour le chocolat post-pâques.

Ingrédients:

  • 1T de farine
  • 2 oeufs
  • 1 c.thé poudre à pâte
  • 1/4 T de gras
  • 1T de sucre
  • Vieilles truffes ou chocolat qui une fois fondus donnent 2 T de liquide, tu peux ajouter de l’eau si tu es pauvre
  • De la vanille et des arachides
  1. Tu fais fondre ton vieux chocolat avec ton gras.
  2. En même temps, tu demandes à quelqu’un de faire la job difficile dans un autre bol, soit faire mousser les oeufs puis ajouter le sucre en fouettant jusqu’à ce que ça devienne plus pâle. Mets de la vanille.
  3. Tu mets la farine et la poudre à pâte dans la préparation aux oeufs (on peut aussi dire APPAREIL pour les connaisseurs), puis tu ajoutes ton APPAREIL de vieux chocolat.
  4. Puis si tu es dans un mood motivé, ajoute des arachides. Si c’est trop solide tu peux cracher dedans ou ajouter un peu de liquide (brandy, rhum, pas vodka parce que c’est bizarre, lait, etc).
  5. Mets ça sur une plaque à 350 degré pendant 8 minutes.

À savourer devant un anime japonais: Code Geass, Fairy Tail, Deadman wonderland

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